La Mémoire de l'Eau

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Plusieurs recherches et plusieurs chercheurs se sont intéressés à ce que l'on appelle la mémoire de l'eau. 

Le premier a s'être intéressé à cela fut Jacques Benveniste ( 1935-2004), qui, en 1984, par les travaux réalisés sous les laboratoires Boiron avec l'homéopathie, est arrivé à obtenir une dégranulation de basophiles en utilisant une haute dilution d'anticorps telle que l'anticorps ne devait plus  être présent dans l'eau. 

Cette réponse biologique fut interprétée par Benveniste et son équipe comme la demonstration que l'eau avait conservé les propriétés d'une substance qui ne s'y trouvait plus. 

Cette publication a déclenché de fortes réactions dans la communauté scientifique mais Jacques benveniste n'a pas voulu confirmer ses résultats par une autre expérience.

 

Masaru Emoto

Titulaire d'un Doctorat de l'Université de Yokohama en médecine alternative, Masaru Emoto a pu mettre au point avec son équipe une méthode d'observation des cristaux d'eau gelés par la photographie. Après trois heures de congélation à -20°, des goutelettes de glace se sont formées à la surface de la boîte de pétri, sous la couronne desquelles apparaît un cristal sous une projection de lumière. Une photographie est alors prise de façon très rapide avant que cela ne fonde. 

Emoto a découvert que les cristaux étaient très différents suivant la provenance de l'eau. Les eaux pures vives forment de beaux cristaux harmonieux tandis que la où les eaux stagnent ou lorsqu'elles sont usées, les formes des cristaux sont très incomplètes voire dysharmonieuses. 

Emoto est allé plus loin en en tentant de voir si l'énergie de la pensée, la parole, l'image ou la musique pouvait modifier aussi la structure géométrique de l'eau. Et c'est ainsi qu'il a pu voir que suivant l'harmonie ou non des mots ou musiques reçues par l'eau, la forme du cristal devenait plus ou moins harmonieuse. 

 

Voici quelques exemples des photos qu'il a pu prendre lors de ses expériences.

 

Nous voyons ainsi comment la structure géométrique peut être altérée par l'intention émise par le mot ou par la musique.

Sachant que nous sommes composés de 70% à 90% d'eau dans notre corps, nous pouvons prendre conscience que suivant l'harmonie interne de notre eau, nous serons en plus ou moins bonne santé suivant ce que nous recevons de l'environnement extérieur. 

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Les ondes des téléphones portables, des antennes relais et de la wifi agissent de même sur notre eau. Il est pour cela important de pouvoir déjà maîtriser ses propres pensées avec lesquelles nous sommes présents à chaque instant et de choisir les musiques que l'on écoute. 

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Par l'utilisation des bols tibétains, les moines tout en martelant leurs bols émettaient des intentions positives afin que l'intention vienne nourrir le son du bol tibétain et vienne ainsi remplir d'énergies positives toute l'eau de notre corps.

de même par les mantras ( qui veut dire "outil de protection" en tibétain), l'utilisation répétée de phrases sacrées permettaient ainsi de renforcer chaque cellule d'eau du corps face aux dhysarmonies environnantes. 

Les travaux de Masaru Emoto ne sont pas encore reconnus par la science exprimant le fait que les procédures expérimentales sont insuffisantes

 

Mais la question à se poser est de savoir si l'important est que l'eau ait une mémoire ou que le Verbe dégage une énergie ? Je pense que les deux sont aussi importants l'un que l'autre car quand l'on voit l'action que peut avoir nos pensées ou le mot sur la matière ( par l'intermédiaire de détecteur de champ magnétique), il faut vraiment se dire que tout ce qui nous entoure jusqu'à nos propres pensées dégagent de l'énergie et que nous, être humains, composés principalement d'eau sommes un récepteur de toutes ces informations.